À vous de jouer 🚀

J’ai la sensation que nous sommes nombreuses et nombreux à avoir besoin de la même chose pour naviguer avec panache dans cet océan d’informations et de propositions d’achats : un référentiel, une liste de personnes, d’adresses, d’objets, de références, de talents… qui seraient comme « validés » :

Ok cosmopoli : ramener la consommation (dont eau, énergie, matières, etc.) à un niveau où l’effet/l’impact généré resterait en deçà de la capacité d’absorption du système vivant planétaire +++

Ok beau : en tant qu’espèce esthète, le « cosmo-ravissement » est tout aussi important. Rien n’est plus puissant que le beau pour éloigner la poubelle de la vie d’un objet ou d’un bâtiment. La naissance d’une relation intime, émotionnelle à l’altérité non humaine me semble primordiale à chérir.

La cosmopolitesse est loin d’être une simple succession de critères. Il s’agit d’une voie, d’un prisme, d’une manière de faire des choix essentiels en faveur d’un art de vivre présent à la prospérité de la vie sur Terre.

Voici une liste non exhaustive des signaux les plus importants de la cosmopolitesse du beau (Recommandation : jugez en conscience et avec discernement votre signalement) :

> L’impact hydrique, encore appelé « eau virtuelle ». Demandons-nous quelle quantité d’eau a été nécessaire pour arriver à l’état final ? Est-ce une eau gaspillée ? une eau domestiquée (arrosage) ? une eau pluviale ?

> L’absence de molécules que le vivant ne sait pas dégradé lui-même Privilégions le choix de matériaux qui permettent les énergies du monde puissent passer à travers.

> L’absence de PFAS

> La transformation des matériaux Demandons-nous quelle part de matériaux peu ou non transformés sont à l’oeuvre ?

> La couleur Parfois le mieux est l’ennemis du bien. Mieux vaut un élément non teinté qu’une fausse bonne idée de teinture « écolo » qui n’a que le nom de sérieux.

*cosmopolitesse : néologisme développé par Alain Damasio et Baptiste Morizot